La semaine dernière j'ai visité Paris. C'était incroyable parce que c'était mon rêve.
Quand nous sommes arrivés, le temps était chaud
Tout de suite nous sommes allés au Champs-elysées pour promener. Ensuite, nous sommes allés à la tour Eiffel.
Tout notre voyage nous avons passé en voyant les belles peysages.
J'ai vu le Louvre, les Chateaux, l'architecture parisienne. Chaque matin j'ai commencé mon jour comme vrais français (если вы девушка то добавьте еще E). J'ai mangé du croissant et j'ai bu une tasse du café.
J'adore cette ville, ses traditions et ses gens. Je voudrais la visiter encore fois.
Le sport n'est pas seulement un type d'activité physique. C'est un chemin difficile auquel les gens consacrent toute leur vie. Ce n'est pas pour rien qu'il est chanté dans la célèbre chanson: "le Lâche ne joue pas au hockey!"Cela s'applique pleinement à d'autres sports, en particulier les sports olympiques. Dès la petite enfance, les garçons et les filles commencent à se frayer un chemin dans le grand sport. Ils attendent des privations, des blessures graves et légères, des séances d'entraînement épuisantes et régulières, un régime strict et d'autres restrictions. Ils n'ont pratiquement pas le temps de se reposer et de s'amuser. Leurs amis et leur environnement sont l'entraîneur et les autres athlètes, et le mode de vie est un régime sportif strict.
Il est particulièrement difficile de donner un chemin épineux vers le piédestal aux filles fragiles. Ils sont admirés: Svetlana khorkina, Albina akhatova, Svetlana zhurova, Irina Slutskaya, Tatiana Navka et d'autres. Mais mon athlète préféré est Elena Isinbayeva. Il est étonnant de voir comment cette belle fille est capable de gérer la perche et si gracieusement, sauter haut, laissant derrière ses rivaux. Elena est double championne olympique. Vainqueur à plusieurs reprises des compétitions mondiales et européennes. Elle a reçu le titre de maître Émérite des sports de Russie. Elena a reçu des hauteurs qui étaient auparavant récalcitrantes. Elle a établi plus d'un record.
Isinbayeva est née dans une famille simple à Volgograd. Maman était caméraman dans la chaufferie et papa était mécanicien. Les parents ont donné leurs deux filles à l'école de sport pour pratiquer la gymnastique. Elena n'avait alors que 5 ans et sa sœur Inna était encore plus jeune. La famille n'avait pas les moyens financiers d'avoir un meilleur entraîneur et des équipements sportifs coûteux. Cependant, grâce à la persévérance et au travail de sa fille elle-même, elle a pu grandir en champion olympique, devenir un athlète exceptionnel. Une grande contribution a également été apportée par l'entraîneur, qui a vu l'étoffe de la fille, l'a envoyée aux cours d'athlétisme. Peu de gens oseront changer de sport à l'adolescence. À 15 ans, un athlète déjà établi, mais Elena a eu assez de volonté et de détermination pour commencer l'entraînement presque dès le début. Déjà alors
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J’étais bien jeune alors. il y avait en moi insouciance à très haute dose, mais je savais que je ne reviendrais jamais dans ces lieux et colorés et, même si new york m’offrait animation de ses rues et de ses avenues, je ne pas la couleur des dômes, coupoles, et la misère chatoyante et bruyante des ruelles des vieux il n’est pas drôle d’être une jeune émigrante ; j’avais envié les filles de mon âge qui avaient leur vie dans et n’en bougeraient jamais. bien sûr, je m’efforçais devant ma famille d’être toujours l’anna qu’ils attendaient. je chantais, je les rire, je simulais l’enthousiasme de ce départ, mais je n’étais pas si que je le paraissais. je me demandais si un jour je si un jour j’aurais enfin maison dans laquelle je demeurer tout le de ma vie sans être obligée partir une fois ces derniers jours longs pour moi, malgré l’animation des malgré les bagages. nous allions continuer notre course vers l’ouest, nous enfoncer vers l’europe, des pays dont j’ignorais tout. ephraïm vint nous faire mon échalas d’amoureux était dans un état lamentable, ses yeux de merlan frit me contemplaient avec un désespoir qui me toucha et m’exaspéra pour secouer tristesse qui me gagnait, je jouai une mazurka endiablée et, partir, je grimpai sur un petit banc et je embrassai tumultueusement lui laisser un souvenir. ephraïm en resta pantois. il était toujours les bras ballants, les yeux exorbités, lorsque le m’éloignai. je me suis demandé parfois 25__ il n’était pas resté ainsi, figé pour l’éternité par la surprise.
L’apparence est souvent trompeuse.
La plupart des jeunes pensent que l’apparence physique est primordiale dans notre société. Point de vue que je ne partage pas, en ce sens que l’apparence ne fait pas la personne. La société exige aujourd’hui qu’on soit beau et séduisant reléguant ainsi au second rang les valeurs éthiques et morales dans les relations humaines. Pour être bien dans sa peau il faut être bien avec soi-même et les autres donc être vrai pas une pâle copie de la société. L’apparence physique crée beaucoup de frustration chez certaines personnes qui ne sont pas heureuse dans la vie du fait de ce culte poussé de l’apparence qui est la cause de la récurrence des chirurgies qui sont parfois un danger pour nous. L’apparence physique ne traduit en rien la personnalité. En conclusion je pense qu’un individu est déterminé par ce qu’il est à l’intérieur de lui, par les valeurs intrinsèques qui définissent sa personnalité et constituent la diversité humaine dans toute sa beauté et non à son apparence physique c’est sur cela qu’on devrait juger un Homme.