A. Bonjour! Vous êtes depuis longtemps à Paris?
B. Bounjour! On vient d'arriver.
A. L'hôtel vous plait?
B. Je suis contente que les fenêtres donnent sur la rue. Mais je suis désolé que dans ma chambre il n'y ait pas de douche.
A. Je suis heureux que l'hôtel se trouve dans le quartier Latin. Vous êtes déjà descendus en ville?
B. Juste une fois. Je suis mécontent que la rue Saint Jacques soit si bruyante.
A. Vous sortez seul?
B. Oui je regrette que dans notre hôtel il n'y ait pas d'autres touristes étrangers.
A. On pourrait sortir ensemble ce soir.
B. D'accord. C'est dommage qu'il n'y ait pas de téléphone. Appelez moi sur mon portable à 19 heures.
A. OK. À ce soir!
Le lycée c’était une grille d’abord. Derrière la grille il y avait des arbres et derrière les arbres un mur avec des fenêtres. Il y avait enfin des pensionnaires. Ils se couchaient dans des dortoirs. Il y avait des demi-pensionnaires qui rentraient le soir chez eux ; mais ils mangeaient à midi au réfectoire. Il y avait des externes surveillés qui faisaient leurs devoirs au lycée. Il y avait enfin des externes qui suivaient les cours de huit heures à dix heures et demie et de deux heures à quatre heures et demie. Paul était externe en neuvième. Il faisait les devoirs sous la surveillance de son père. Paul avait un cartable et un plumier noir laqué. Paul savait déjà lire, écrire et compter. Maintenant il avait un livre d’histoire avec des images et un atlas avec des cartes géographiques. Le même maître enseignait toutes les matières dans les premières classes. C’était un homme assez jeune et barbu. Un vieux gilet cachait mal son ventre. On sentait chez lui une pauvreté matérielle et intellectuelle. Un certain Polani, un garçon au front bas et aux oeux de grenouille, terrorisait Paul à cause de ses cheveux longs. Poland le tirait par les cheveux et le jetait par terre pour lui faire mal ou pour lui prendre ses billes ou une plume. Paul était un enfant timide et il ne savait pas encore se battre...Paul avait une bonne mémoire et sur son carnet on trouvait des notes entre sept et neuf sur dix. Mais il y avait aussi des observations : « bavard », « inattentif ». Avec l’allemand Paul n’avait pas de difficultés : il parlait l’allemand à la maison. Les élèves qui apprenaient l’anglais trouvaient que l’allemand était très «diff ». On faisait des devoirs allemands en belles lettres gothiques. En classe on récitait. Quand on récitait il y avait toujours des copains qui «soufflaient ». Et parfois ils soufflaient des bêtises. On faisait aussi des dictées (pour l’orthographe), des lectures, des calculs. A la maison après les classes, Paul faisait ses devoirs. Le soir papa et Paul tâchaient de résoudre des problèmes.
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